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Balade Mentale consacre un épisode plein d’humour au mythique Père Noël. Les youtubers imaginent les galères que celui-ci devrait subir afin d’exister. Science à l’appui !
Un premier problème : l’alcool. La coutume veut qu’en bon hôte de maison, nous lui laissions un petit verre pour le remercier de son passage. À raison de 5 cl par consommation dans près d’une centaine de millions de foyers, le Père Noël consommerait l’équivalent de 40 camions-citernes d’alcool en une nuit. Impossible qu’il survive à cela.
Un autre problème posé par le challenge de Noël est celui de la vitesse. Saint-Nicolas doit livrer des cadeaux à 300 millions d’enfants dans 85 millions de foyers. Pour cela, il parcourt 110 millions de kilomètres (en étant saoul). Une telle performance lui impose une vitesse de livraison de 1,2 milliseconde par maison. Le Père Noël passerait ainsi 800 fois le mur du son par seconde, à défaut de passer inaperçu. Mentionnons également les dégâts qu’il laisserait derrière lui : meubles retournés, fenêtres éclatées… Une véritable fusée traversant votre salon. Sans protection adéquate, le père Noël mourrait alors vaporisé par son expédition. En effet, cette vitesse le confronterait à une résistance de l’air proche de celle subie par une navette spatiale entrant dans l’atmosphère. La seule solution pour papa Noël de réaliser un tel exploit de rapidité serait d’être génétiquement modifié. Évidemment, s’il est capable de régénérer sa peau, ou alors si son traineau est muni de boucliers thermiques, dans ce cas le problème n’en est plus un.
Toutefois le gros bonhomme n’est pas au bout de son malheur. Il doit aussi résister aux accélérations de son traîneau ou encore au poids du chocolat ingurgité pendant ses visites nocturnes… Bref, découvrez toutes les galères qu’impliquerait la véritable existence du Père Noël !
Découvrez la suite de cet épisode : Sauvons le Père Noël ! Du clonage au déménagement
Balade Mentale est une chaine de contenu culturel. Cette vidéo a été coproduite par le CCSTI La Rotonde Mines Saint-Étienne.
C’est quoi ces contenus débiles ?
Les universités américaines prestigieuses publient pareil sur leurs pages ?
Votre jugement n’est-il pas trop fort cher « anonyme » ? Il s’agit ici de vulgarisation scientifique, cela ne concerne pas les travaux de nos chercheurs. Nous soutenons le travail de ces jeunes vidéastes qui s’adressent à un jeune public.